où il est question de pénalités de retard

Bon… je reconnais que, dans mon métier, les retards de livraison ne sont pas chose rare…

Mais qu’est-ce que j’y peux, moi, si je n’en suis qu’à ce stade là du développement…

en-cours, taille “crevette”

… alors que mon client exige d’être livré en avance?

petit Gabriel tout fraîchement livré de ce matin

Je ne vois qu’une solution : si je veux ma rémunération en sourires, gazouillis, câlins et bavouillis, je vais devoir travailler de nuit!

 

PS : vous noterez toute la retenue de ce billet, alors qu’en ce moment même, s’il y a un qualificatif qu’on peut m’attribuer, c’est… hystériiiiiiiiiiique ! hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! je suis tata!!!!!!!!!

où il est question de contrôle parental

Aujourd’hui, j’ai un sujet sérieux à aborder.
J’aimerais lancer un débat déontologique sur le thème: faut-il laisser Ravelry libre d’accès aux mineurs de moins de 10 ans?

Je vous explique: depuis que mon petit lascar a repéré le dragon de Neige de LouAnge alors que j’admirais celui-ci sur Ravelry, il ne s’est pas passé un jour -que dis-je? une minute- des vacances de Noël sans un “maman, tu me fais le dragon??” ou un de ses dérivés – “maman, tu le commences quand mon dragon?” “maman, je vais bientôt l’avoir, mon dragon ?”-
Il est bien connu que nos chères têtes blondes savent y faire pour nous avoir à l’usure au charme et quelle mère indigne refuserait un doudou dans lequel son enfant s’est tant projeté?


dragon/dinosaure : modèle Dirk par Lydia Tresselt (Lalylala)

Et voilà comment un désempilage de todo list, déjà bien à la bourre alors qu’on n’est qu’en janvier, peut prendre un sacré coup dans les dents!
Sans compter que mon petit ange s’est transformé en véritable tyran en culotte courte, pendant les 3 semaines qu’il m’a fallu pour pondre ce dragon! -d’où le débat sur l’interdiction de Ravelry aux enfants-


laine : Pimprenelle coloris vert outremer (Froufrou et Capucine)
+ quelques restes de cascade, phildar, alpaga

J’ai eu l’occasion d’entendre:
– au moins 50 “maman, tu ne crochètes pas là ?” -à tout moment de la journée, si une de mes deux mains n’était pas occupée-
– 4 “maman, je t’apporte le dragon pour que tu le continues pendant que tu bois ton thé/café?” – c’est ce qu’on appelle être multi-tâche-
– 2 “maman, on n’avait pas dit qu’on voulait le finir rapidement?” – euh… moi? j’ai dit ça ??-
– un “et tu ne veux pas le prendre au travail? comme ça, tu pourras le continuer à un moment où tu n’auras pas de choses à faire” et 1 “quoi??!! tu n’as pas avancé ??!! même pas l’écharpe ??!! pourtant, c’est facile à faire, l’écharpe ??!!!” – à sa décharge, 6 ans, c’est un peu trop tôt pour apprendre la diplomatie-


attention, pour les ailes, il y a une erreur dans la version française du patron!
(un “1 ms” qui est venu se mettre à la place de “12 ms” : il se repère vite, mais si vous avez un doute, vous pouvez toujours me demander…)


Je le soupçonne même d’avoir attrapé la grippe exprès pour me bloquer 2 week-ends à crocheter à la maison!

Enfin, la découverte de la bébête terminée a rabattu le caquet de mon petit tortionnaire volubile: il s’est tout simplement précipité dans mes bras pour un énooooorme câlin! Et rien que pour ça, je ne regrette pas mes 3 semaines de bagne!


bestiole évoluant dans son milieu naturel
il a été baptisé ‘TiDragonMignon’ -pas pratique comme nom, mais je n’y suis pour rien!-

Mais depuis, en attendant la mise en place d’un contrôle parental sur le site, je continue mes balades ravelresques toute seule, le soir, à l’abri des regards indiscrets quand tout le monde est couché !

saga

Je crois vous avoir déjà parlé de mon addiction aux séries TV, dont je vais éviter l’énumération sous peine de faire saturer les serveurs de canalblog…

S’il y en a une qui me plaît particulièrement, en ce moment, c’est la série des “Aime comme …“.
Avec quelques épisodes de retard, je ne vous ai pas encore raconté le dernier en date, pourtant terminé le mois dernier – oui, je sais : ça ne sert à rien d’avoir un beau calendrier si on ne sait pas tenir son blog à jour!-


Top modèleMelting Poten jersey France Duval
passepoil doré: Bulle de Gum

Désolée pour toutes celles qui aiment le suspense, elles risquent d’être déçues: quand on s’attaque à un patron de Marie, on sait dès la première couture comment ça va se finir!
Grosso modo, voici le topo  – *** ATTENTION : SPOILER ***- : le jersey FDS tombera amoureux fou du modèle “Aime comme…”, ils auront évidemment à affronter quelques embûches car il faut bien tenir en haleine la couturière de moins de 50 ans – par exemple, ici: le modèle arrivera t’il à s’accomoder de seulement 70 cm de jersey? la bobine de fil qui se déroule de façon critique tiendra t-elle jusqu’au bout de l’épisode?-


pour faire rentrer mon top dans 70 cm de tissu, il a fallu tailler le dos en 2 morceaux… j’aurais pu l’assembler, tout simplement, mais vous pensez bien que je n’allais pas me priver d’un boutonnage dans le dos servi sur un plateau!

… enfin, au final, aucun obstacle n’aura eu raison de leur amour, et ils vécurent heureux… -au moins jusqu’au prochain accroc!-
On est peut-être loin de “fifty shades of grey” -le lirai-je un jour?-, mais je ne me lasse pas d’un happy-end récurrent, d’autant que je n’aime gaspiller ni mon temps, ni ma matière première!

Du coup, je n’ai pas hésité une seule seconde à faire intervenir un protagoniste imprévu pour pimenter l’histoire: le coupon de liberty le plus cher de l’histoire de mon armoire à tissu…


coupon de liberty betsy gris/doré : lilymeru
matelassé en “carreaux” de 1 cm : c’est ce qui m’a pris le plus de temps!

… pour un ménage à 3 qui semble finalement fonctionner à merveille.

Enfin, la saison n’est pas terminée, et le suspense atteint son paroxysme lorsqu’un nouveau protagoniste entre en scène: le modèle “Aime comme…” saura t’il résister au charme d’une fine batiste ?
La suite au prochain épisode!

des petites souris et des petits hommes

Pourquoi nos petites têtes blondes mettent-elles autant d’énergie -et de nuits blanches- à faire pousser leurs premières dents si c’est pour les perdre si rapidement?


petit souris “Mousie” -modèle Ysolda– en compagnie de Sushi
graine de laine Physalis : Froufrou et Capucine

Passée l’angoisse de la première question évidente quand on connaît mon petit lascar -“comment la petite souris va-t’elle pouvoir faire son boulot avec un enfant insomniaque?”-


pour oser s’aventurer sur la table de chevet de mon fils, soit la petite souris est analphabète, soit extrêmement courageuse!

… il demeure un petit pincement au coeur: déjà! mon petit bébé vient de perdre sa première dent!


et qui est-ce qui a eu le plaisir de se faire réveiller à 1h34 du matin parce-que “la petite souris, elle a laissé une pièce et un doudou souris!!!!!” ?

Tant de nostalgie pour une seule minuscule quenotte: la petite souris, elle ne peut rien pour consoler une maman au coeur d’artichaut?

Où il est question d’ancrage

Alors, comment c’était cette semaine de reprise après trois mois à se prélasser à la maison?
Euh…
Si je vous disais que j’ai l’impression de ne m’être jamais arrêtée, vous me croyez?

Bien décidée à démarrer l’année du bon pied, j’ai tenu à me créer un environnement de travail propice aux énergies positives…


Calendrier 2013 liberty : maison

et quand le concept d’ancrage émotionnel vient au secours de la blogueuse, on obtient un beau calendrier 2013 tout de liberty vêtu! -le petit bout de biais Mauvey que j’ai trituré pendant 4 ans lors des réunions téléphoniques animées va pouvoir prendre sa retraite-



le masking tape fluo devrait être accepté au bureau, par contre, les tissus FDS resteront à la maison…

Je ne sais pas comment mon nouveau support-planning va être accueilli au bureau, mais si ça passe, je pense que les collègues seront mûrs pour que je leur sorte les aiguilles à la pause déjeuner!

 

mission impossible

C’est fou comme parfois, des choses étranges peuvent se produire.
J’ai loupé la fin du monde d’il y a 15 jours -je ne sais plus ce que je faisais à ce moment là pour rater un tel évènnement-, mais ce que j’ai vécu la semaine dernière était tout aussi surprenant…

C’est survenu de bon matin, alors que je sortais de ma douche et me regardais dans le miroir… dans un nuage de vapeur, se sont tracés les mots suivants sur la glace:  “Karen, la situation est grave : vous êtes à quelques heures d’un réveillon en bonne compagnie, mais votre tête est loin d’être à la hauteur de l’évènement. Votre peau est aussi pulpeuse qu’un sol lunaire, vos cheveux n’ont rien a envier à un vieux paillasson Ikea, et on pourrait déménager toute la famille -mobilier compris- avec les valises que vous avez sous les yeux! votre mission si vous l’acceptez: vous avez une heure pour mettre au point une solution radicale pour ne pas effrayer les amis qui vont franchir le seuil de la prochaine année avec vous… Ce message s’auto-détruira.
puis… “pouf”… plus rien… juste mon reflet confirmant tout à fait ce que je venais de lire…

Une solution, vite!! un ravalement de façade ? -non, tous les plâtriers sont en vacances…-.… me tricoter une cagoule ? -pas pratique pour le champagne-
Je sais: attirer l’attention ailleurs que sur ma -sale- tête!


“mini” à double plissage, bidouillée à partir d’un modèle de jupe portefeuille d’un vieux Burda
coupon cuivré : toto
2.5€ pour 50 cm de tissus + 0.75€ pour la fermeture éclair = de quoi se lâcher sur le champagne

Les magazines féminins ne nous auront pas rabâchés le coup de la mini qui brille pour rien: la mienne m’aura sauvé la face pour fêter la nouvelle année!

 


et on ne passe pas une année sans sa petite touche de liberty : non mais!

Et moi qui pensais que ce serait une jupe d’une seule soirée…

 

… je suis maintenant persuadée qu’avec le pull grosses mailles qui est sur mes aiguilles, elle pourrait être parfaite pour réchauffer l’hiver!
Enfin, ce matin, mon miroir m’a quand même lancé un nouvel appel : “cette jupe est absolument à proscrire aujourd’hui : ce n’est pas une façon de se montrer aux nouveaux collègues le jour de sa rentrée!“.
Alors, la mini brillante attendra sagement, mais moi, c’est maintenant que je veux bien prendre toutes les ondes positives qui se présenteront!!

… 3… 2… 1… 0 !!!! -remettez les chiffres dans l’ordre-

Bye Bye 2012!! -année de la loose ?-
Je vous souhaite une année 2013 … euh…

    balèze ? -mouais…-
    en charentaises ? -bof…
    bien aise ? – au secours!-
    aux fraises ? -aïe !-
    plein de pèze – de pire en pire … punaise! –

Bon, je crois qu’il est plus sage de laisser les rimes en javanaise à Gainsbourg qui les maîtrisait à la perfection…

 

Je vais me contenter de vous envoyer 2013 bisous -rien que ça – et vous souhaiter une année

deux mille treiz’heureuse !!

froid? lui?! jamais!!

un petit passage à vide, en ce mois de décembre… une fois de plus, les microbes se sont incrustés et ont grandement mené la partie: je me suis mangée un “belote, rebelote et dix de der”, je peux vous dire que je n’ai pas fait un pli! vivement que l’année se termine -on y arrive-

Alors, ce que vous avez pu louper ces 2 dernières semaines dans mon petit bazar… on ne peut pas dire que ça casse 3 pattes à une dinde aux marrons, car l’ordre du jour n’était pas trop à sortir en traîneau mais à se traîner pour sortir et la mère Noël n’aura pas précisément brillé par ses cadeaux homemade au pied du sapin!

Enfin, il y en a quand même un qui n’a pas été oublié…


écharpe toute simple, recette maison
tricotée en cascade superwash 220 sport, souvenir de New York (acheté à Purl Soho)

… celui là même qui a réussi à passer au travers des microbes, virus ou autres parasites, assurant à la fois l’intendance de la maison et le rôle de garde malade…


pochon étoilé: batiste France Duval

… le plus dur dans l’histoire ayant été d’attraper l’homme direct à son retour du boulot, pour lui coller le fameux cadeau autour du cou et en sortir une photo!


je crois que vous n’avez jamais été présentés?
Florent/les copinettes, les copinettes/Florent… -“enchanté”, qu’il dit-

Voilà, maintenant que le présent a été validé -d’ailleurs, l’homme me réclame maintenant un gilet-, je me dis qu’il serait peut-être judicieux de ma part d’être aussi bien équipée pour aborder 2013 avec une bonne protection laineuse – d’ailleurs, question : a t’on déjà vu un mouton tousser?-.

Mais en attendant, je compte sur l’effet antiseptique d’une bonne coupe de champagne et je vous souhaite à toutes et à tous, un excellent réveillon ! Cheers !

 

********* HOW TO rapide *********
on monte un nombre de mailles multiple de 3 pour avoir la largeur souhaitée (ici 45 mailles), puis tous les rangs sont tricotés exactement de la même manière : “3m end,* 2m end, 1 m env * répéter de * à * jusqu’à 3 mailles avant la fin, 3 m end”
on s’arrête à la longueur voulue (ici, 2m20 en ajoutant une petite bordure en côte 2/2 sur 2 rangs)
*******************************

le bonheur est dans le pré

Revenons quelques années en arrière…
Vous avais-je déjà raconté que, quand j’étais petite, mon entourage me prédisait une carrière d’éleveuse de chèvre dans le Larzac? je présentais toutes les prédispositions pour m’épanouir au fin fond d’une campagne, à traire les chèvres et me vêtir de peau de moutons -que celle qui n’a pas eu sa période longue jupe à fleur/docs marteen’s me jette la première pierre –!
Le destin en a voulu autrement, et ce, pour des raisons de santé -mentale-: en effet, mon organisme est incapable de survivre au delà de 48 heures en terre isolée -comprendre: non éligible à l’adsl, non couverte par la 3G, ou à plus de 5 km d’un H&M-

Mais je n’en suis pas triste pour autant: grâce à la magie du net, si tu ne peux pas aller à la campagne, la campagne viendra à toi… et tu découvriras qu’elle sera conditionnée en merveilleuses pelotes, d’un fil pur, souple, époustouflant de régularité, qui révèle toute sa douceur, son moelleux et sa finesse après blocage : un véritable poème concentré dans un écheveau! -un coup de coeur? moi??! bon, ok, j’avoue…-


Laine Gilliatt, coloris poivre et sel : de Rerum Natura
aussi douce qu’elle en a l’air -non, on ne caresse pas l’écran, ça laisse des traces!-

Je sais que d’ordinaire, je ne suis pas si bavarde pour les introductions, que je vous plante ma réalisation sous les yeux direct, mais là c’est vraiment ce fil qui a choisi son modèle et non l’inverse…


modèle “division cardigan” : 4 écheveaux de Gilliatt

Ça faisait un bon moment que je voulais un gilet tendance boyish, genre “piqué à mon homme” -sauf que mon homme, il ne met pas de gilet!-, bref, un gilet “grand père”!
J’ai hésité à lui rajouter des petites poches mais, de mémoire, je n’ai jamais vu mes grands-pères avec des poches : l’un porte toujours un blazer en laine impeccable, même quand il se balade avec son filet du marché, l’autre n’avait pas besoin de poches car il faisait directement apparaître les bonbons dans les oreilles du chat! – si, si… je ne vous raconte pas le nombre d’heures que j’ai passées à scruter les conduits auditifs de la fameuse bestiole !-


boutons en cuir: la Droguerie

Enfin… revenons à nos moutons -c’est le cas de le dire- : un résultat bien à la hauteur de mes attentes -et, tricoté en 4.5, je n’ai pas attendu longtemps!-… un style un peu brut qui sait parfaitement adopter un top ultra féminin ou une petite robe en soie…

… mais qui lance aussi des appels de cocooning au coin du feu – je n’ai pas de cheminée : dommage-: je trouve ce gilet aussi ambivalent que le fil qui le compose.
En tout cas, une chose est sure: je dois retrouver des bouts de moi dans cet ouvrage, car, d’habitude, je ne suis pas aussi expansive et volubile dans mes billets -contrairement à la vraie vie- !


quand je le porte, j’ai l’impression de faire un câlin à un mouton!

Et puisque j’en suis aux confessions rurales -et si vous avez réussi à tenir jusque là-, vous ne devinerez jamais quel animal de compagnie j’avais demandé à mes parents, étant petite?… une vache!! – c’est qu’on doit en sortir de sacrés bonbecs, dans les oreilles d’un animal pareil!
Sérieux… il faudrait peut-être que je me trouve un stage agricole quelque part, moi, non?

celui qui voyait double

Je ne sais pas si cette journée était prévue dans les calendriers mayas, incas, alpagas ou autre, mais, aujourd’hui, on nous a prédit la fin… du défi’13, avec un ultime challenge personnel.

En ce qui me concerne, le défi que je me suis lancé est simple -enfin, façon de parler-: finir TOUS mes en-cours tricot! car, en 4 années de pratique, -rappelez-vous: “Autumn fever“, par les mêmes organisatrices, s’il y a bien une technique que je n’ai toujours pas essayée, c’est la libération simultanée de toutes mes aiguilles.
Alors, pour l’occasion, j’ai fait coup double:


gilet modèle maison, spécial futur neveu/ future nièce (taille : 1 mois)
top-down: sans couture (donc pas d’épaisseur superflue aux jonctions), parfait pour un bébé délicat

Avec un modèle double-saveur: que le futur bébé nous arrive dans une rose…


laine Holtsgarn Noble, coloris Lilac, 2 pelotes: Laine et Tricot

ou dans un chou…


laine Holtsgarn Coast -une révélation de douceur-, coloris Skylight, 2 pelotes: Laine et Tricot

seuls quelques détails seront là pour faire la différence entre le gilet de la nièce potentielle…


motif ajouré à fine torsade pour la fille

… et celui du neveu potentiel:


motif céréalier à fine torsade pour le garçon

En fait, le vrai défi qui va suivre, ce sera d’en faire un tuto ultra précis à la demande de ma maman, jusqu’alors perplexe devant mes aiguilles circulaires mais qui ne demande qu’à essayer car elle est comme moi: dans le tricot, ce qu’elle déteste le plus, ce sont les coutures!


c’est fini! j’ai eu un peu l’impression de radoter dans ce billet!

Quant à celle qui vient de libérer 2 paires d’aiguilles d’un seul coup -alors que 2 autres paires sont encore occupées-, va t’elle devoir commencer un 3ème petit gilet pour l’exemple?

1 8 9 10 11 12 60