“Voilà, je veux ça, bonne chance”… c’est le titre du mail que j’ai reçu de ma chère sister l’autre jour.
J’ouvre. Vide. Pas de texte, rien… ah si, tiens, une pièce attachée:
Hum… certainement un problème de messagerie, le corps du texte a dû se perdre en route… mais je réussis à en deviner le contenu: “ma chère sœur adorée, toi qui es si douée et en plus si gentille, aurais-tu l’extrême amabilité de me confectionner à l’identique cette paire de boucles d’oreilles, très complexes au demeurant, mais qui ne seront pas un obstacle à ton incommensurable talent. Ana, ta soeur qui t’admire” -tu dis, Anaël, si je me suis trompée quelque part, hein?-
Demandé de cette façon, évidemment, on ne peut pas refuser: hop, direction mon fournisseur préféré, photo en main, et là… aïe, le lieu résonne de l’absence de Fairy Audrey, mon maître jedi de la BO -ça, je pense que vous l’aviez compris-: sans elle pour me tenir la main, la tâche s’annonce plus compliquée que prévue…
Bon, d’un autre côté, c’est enfin l’occasion de faire mon sevrage et de choisir toute seule le matériel pour concevoir ma première paire de BO version “lourd de chez lourd”:
Un petit essayage sur moi avant l’expédition sur Paris -wouahhh, mon petit bazar à Paris, la claaaassssse !! comment ça, je m’emballe ??!! non, je ne vois pas à partir de quel moment je me suis emballée dans ce billet…-
Ok, vous pouvez penser que ce n’est qu’une paire de BO et que j’avais la photo, c’était facile… mais chut, gardez le pour vous : moi, je suis super contente d’avoir réussi toute seule, je savoure encore…