ça y est, j’y suis enfin arrivée!!
Dans une matière pour laquelle je présentais de sérieuses prédispositions, la perfection avait déjà été frôlée mais ce n’est qu’aujourd’hui que j’ai réussi à l’atteindre -non, je n’ai pas les chevilles qui enflent!-…
De quoi je parle? de la serpillière homemade, bien sûr!
Le secret est simple: il suffit d’avoir pour modèle initial, une vraie serpillière…
tunique serpillière version Zadig&Voltaire: j’a-do-re !
… la copie ne peut qu’en reproduire l’essence même:
tunique serpillière version mon petit bazar : ce n’est pas pour rien que je ne m’appelle pas Zadig&Voltaire
Les ingrédients sont simples: un crochet, de la laine, double bride, double bride, double bride….
350 g de surnaturelle ‘chocolat glacé’, un crochet 4.5 et c’est parti !
Non, non, je ne lui ai pas présenté immédiatement mon ballet brosse: j’ai pris la précaution de tester la chose sur mon dos, et miracle…
… ça me convient tout à fait, comme résultat! –et je tiens à rassurer mon fils aîné : malgré les trous, ça tient chaud!-
Vous vous demandez peut-être quel est le rapport, outre le titre, avec le défi’13 anglais du jour?
En fait, c’est très personnel: ce type de pull , c’est tout à fait le genre de fringue sur laquelle j’aurais pu craquer en parcourant le marché de Camden Town lors d’un stage outre-manche.
J’étais à l’époque en plein dans ma période hippie: jupes longues, fleurs, doc martens… doc martens??! mais c’est vrai: j’ai l’accessoire on-ne-peut-plus-british pour accompagner ma serpillière!!
Allez, parce que c’est vous, je vous le montre:
l’histoire de ces shoes? elles viennent du magasin Doc Martens de Carnaby Streets, London
vendues par une italienne qui parlait anglais avec les mains… so lovely!
1998, mais déjà une attirance pour les petites fleurs!
et vous voyez, ma taille de chevilles, elle est tout à fait convenable, non?