celle qui sort son microscope

Mini, mini, mini, mini…

sous cet accessoire à l’allure de sac à main de poupée Barbie se cache en fait un bijou pour vraie grande fille :

baby bag frangé
cuir : le gentil monsieur du marché place du cap
perles : les gentilles filles de la droguerie de Toulouse
(oui, là, on essaie tous d’expliquer à nos amours de progéniture que les gens mauvais font office d’exception) 

Ce baby bag pourrait se contenter d’être un simple sautoir, mais non, il est prévu pour être d’une grande utilité au quotidien… et d’ailleurs, je vous le prouve:

du liberty adelajda multicolore à l’intérieur…
et un peu de menue monnaie
(même que j’ai dû faire les fonds de poches de l’homme pour en trouver…) 

alors? qui est-ce qui ne sera jamais à cours de monnaie devant la machine à café? – je me rends bien compte que ce n’est pas la première fois que j’évoque cette fameuse ‘machine à café’… d’ailleurs, je tiens immédiatement à dissiper le doute qui pourrait s’installer: non, je ne suis pas le pillier du distributeur à boisson! mais je suis sure que nous sommes tous d’accord pour dire qu’il est un fidèle allié sur un lieu de travail-

un tout petit doute, en me voyant là:
je n’aurais pas des airs de Saint Bernard, avec un tel accessoire au tour du cou ?

Aujourd’hui, mon petit “café court sans sucre” aura une nouvelle saveur!

cherche Charlie

Il pleut…
Il pleut… – (…) pardon? ah oui, “bergèèreuh”, si ça vous fait plaisir…-
Il pleut…

Si le printemps persiste à se faire attendre…

liberty EllieRuth (fifi jolipois), pour un projet de jupe Sessun
d’ailleurs, si vous connaissez un super patron de jupe qui rentre dans un coupon de 1m, ça m’intéresse ! 

… je crois qu’il va falloir aller le chercher!

un petit dernier avant le printemps

Ne vous fiez pas aux apparences trompeuses de la photo qui suit: on pourrait croire que j’ai crocheté un plaid pour mon fauteuil , mais il n’en est rien -il fallait bien que je pose ma réalisation quelque part pour vous la montrer-


chèche phildar, laine lambswool coloris “paon”

Pas plus qu’il ne s’agit d’un nouveau napperon pour décorer mon joli bahut -pas facile à faire rentrer en entier dans une photo, ce truc!-

fleurettes + tresses + pompons + sequin -> la totale!

En réalité, ce napperon là est destiné à mon cou… Hésitant entre les deux modèles de chèches phildar dont je disposais, j’ai opté pour un mix -et voilà comment on s’évite de faire un choix!- : les carrés de l’un, les fleurettes de l’autre et…


petit nichoir en carton: linnamorata

… hop, voilà un accessoire parfait pour… l’hiver dernier:

et voilà mon napperon porté

Enfin, mieux vaut très tard que très très tard: si les microbes qui ont décidé de squatter chez moi depuis 3 mois m’ont vallu le surnom “d’incubateur” par mon entourage, me voilà quand même bien protégée pour affronter les 2 derniers jours d’hiver!

celle qui avait deux derrières…

Non, non, je ne me suis pas vue pousser un second postérieur pendant mon sommeil et pour vous le prouver, je commence immédiatement ce billet en vous tournant le dos :


blouse pompée sur Ba&sh
réalisée à partir d’un patron japonais -le même que la blouse de janvier

Là, vous comprenez mieux maintenant?
Bon, celles qui pensent que le titre de mon billet vient du fait que mon postérieur occupe la place de deux peuvent immédiatement m’envoyer leurs conseils diététiques par mail – note: je ne prends que les conseils qui n’excluent pas la consommation quotidienne de chocolat-
Les autres -celles qui ont compris que c’est ma blouse qui est composée de deux derrières- auront peut-être reconnu un modèle de chez BA&SH, que j’ai copié/collé version liberty, pour de défi’13 de mars

liberty pablo-pepper qui pique les yeux en photo : la droguerie
(le tout tient dans 2 coupons de 70 cm)

Le choix du sujet s’est fait sans hésitation -pas d’hésitation? oui, oui, vous êtes bien sur le bon blog mais le phénomène “pas d’hésitation” peut intervenir dans de rares cas, surtout lors des années bisextiles- : en tant que fan des superpositions, des dos nus et des blouses boutonnées sur l’arrière, j’ai trouvé là un parfait “trois en un”!


VRAIE patte de boutonnage dans le dos (je sais, c’est du vice)

Certes, ce tissu -mon coup de coeur de l’hiver– manque un peu de couleur… je vous impose là un billet tristounet mais:
1 – de la couleur, je vous promets, vous en verrez ici très bientôt


mais faux boutonnage au poignet
-la màc n’a rien voulu savoir quand je lui ai demandé de me faire une boutonnière à cet endroit-

2- cette blouse m’a redonné le plaisir de coudre – plaisir en stand by depuis les déboires de ma couture précédente- car son improvisation s’est opérée comme sur des roulettes


et là, je cache ma joie… car YOUPIIIII, elle tombe trop trop bien!!

…et moi -,pour plagier le colonnel d’une célèbre série des années 80-, j’adore quand un plan se déroule sans accroc!

question d’influence

Au cours de mes promenades virtuelles, j’ai pu remarquer un phénomène bien étrange que je n’ai pas tout à fait compris…
Par exemple: je vais sur un site de vente en ligne lambda, je vois une pelote décrite comme “jaune”, vous pouvez être certain(e)s que je passe l’écran, je clique ailleurs, sans un coup d’oeil, ou alors, avec une légère expression de dégoût!
Maintenant, prenons exactement le même site et la même pelote: si on lui met une étiquette ‘verveine’, ‘moutarde’ ou ‘ocre’, je peux vous garantir que celle-ci se retrouve dans mon panier en moins de 2 secondes! – 1 seconde si en plus, un ‘nouveauté’ ou ‘coloris exclusif’ a été mentionné sur la dite pelote’-
Enfin, tout ça pour essayer de me justifier d’avoir tricoté un bonnet de cette couleur!

bonnet El Chullo : mamoizelle bazar
tricoté en Boréal Tisane : Citronille

Gaspar voulait un bonnet “jaune” et c’est en me montrant sur l’écran une pelote “verveine” qu’il a réussi à me convaincre.


modifications: oreilles plus larges,
torsade plus étroite, entourée de jersey envers pour la mettre en relief,
ajout d’une “visière” et de 2 boutons 

Vous reconnaissez la base de “El Chullo”… modifié pour le faire passer plus au nord, direction l’Alaska, il devient une chapka:


bon, ok… c’est jaune!

… et de cette façon, je n’ai pas l’impression d’avoir tricoté le même modèle…

même s’il est toujours destiné au même clown!

Sur ce, je m’en vais terminer le projet ‘persil’ qui occupe mes aiguilles… oui, oui, ‘persil’, car, bien-sûr, on ne m’aurait jamais vendu du ‘vert’!

la blouse de la lose

Je vais commencer par devancer la question qu’on serait en droit de se poser : “mais que vient faire une blouse monochrome dans un défi ‘feu d’artifice’?”.
La réponse est simple: elle m’en a fait voir de toutes les couleurs!

Tout a commencé par la découpe de manches bien trop courtes pour réaliser les finitions que j’avais initialement prévues -et ça, c’est bien fait pour moi!!! ça m’apprendra à tracer mes modèles sans patron, directement sur le tissu…-


blouse de la lose, modèle perso
tissu tellement beau qu’il pousse à l’acharnement : France Duval
mal repassée, et vous allez bientôt comprendre pourquoi

On continue avec un coup de ciseau “trop enthousiaste” sur le col et la réaction en chaîne qui en a résulté: dessus de la patte déchirée -> une session d’auto-brainstorming de rattrapage -> une bonne migraine -et surtout, un noeud de camouflage qui n’a rien à faire sur le modèle, mais c’était ça ou la poubelle-


boutons et biais liberty : la Droguerie

… pour finir par, cerise sur le gâteau, un suicide du fer à repasser qui n’y croyait plus et a préféré abréger de lui même ses souffrances plutôt que d’assister à la fin du carnage.


heureusement, j’ai fait des fronces au col et pas des plis !

Je crois que je ne vous avais jamais montré mon côté “tête de mule” -par contre, vous connaissez celui de la ‘mauvaise foi’ par coeur, non?-… et bien ça, c’est fait! arriver à enfin porter cette blouse de février en est la parfaite illustration…


ça, c’est de l’acharnement en voile de coton

Ceci dit, si jamais quelqu’un invente la couture sous péridurale, je crois que je signe de suite!

PS : je vous invite à faire un tour chez les autres “blouseuses” 2012… vous trouverez la liste en haut à droite de la page. Et si vous voulez nous rejoindre dans le défi des 12 blouses, vous êtes bien sûr les bienvenues!

ceux qui ne resteront pas sur les hanches

Petite devinette: qui est-ce qui a déterré la hache de guerre beaucoup trop tôt il y a même pas 15 jours?
Mouais … j’en connais une qui a trop vite crié victoire, avec sa danse anti-microbes autour du pot de nutella -peut-être que je n’aurais pas dû le vider avant?- et qui n’espère plus que les beaux jours pour retrouver la forme!
J’ai bien pensé mettre le blog en hibernation, en attendant de me reforger des défenses dignes de ce nom, mais, quand il y a pas de billets, maman s’inquiète et on ne va pas inquiéter maman, non?

Allez, le printemps n’est plus très loin, je vais continuer à dose homéopathique… en reprenant avec un petit billet pour lequel je ne saurais dire s’il a sa place dans la case “popote” ou “couture” car j’ai voulu cuisiner deux ingrédients que j’adore:
1 – les macarons
2 – le liberty
ce qui donne, à la sortie du four :

macarons maison
chutes de liberty pour les coques
laine cardée pour la ganache : pain d’épice (attention les doigts!)

De la pâtisserie garantie ‘0 calorie’, cette recette a été approuvée par toute la maison,


comme pour la version sucrée, le plus délicat, c’est d’obtenir une coque bien régulière…

y compris l’homme, qui a spontanément lâché un “décidément, tu m’étonneras toujours!” -enfin, c’est ce que j’ai traduit de son “mais tu as complètement pété les plombs, ma pauvre fille!”-


et une boite de 6! marron glacé, chocolat, réglisse, cassis/violette, fraise et cerise

Un petit regret toutefois: ne pas avoir eu à portée de main tous les ingrédients que j’avais en tête… j’aurais bien imaginé mes petits macarons à tous les parfums de liberty “Capel”! peut-être pour une prochaine fournée…

la tectonique des mailles

 

Je ne saurais expliquer par quel étrange phénomène géologique le sud de la France s’est subitement retrouvé au Pôle nord, mais, tous les signes sont là : neiges éternelles, un thermomètre qui persiste en dessous de -10°C, les canalisations d’eau qui gèlent -snif-.

modèle Abigail, laine “Finch” coloris kumlien’s gull (6 écheveaux) : Quince&Co
bon, de face, on ne se rend pas bien compte

La conséquence directe ne s’est pas faite attendre: d’ordinaire abonnée aux tricots qui squattent les aiguilles comme si celles-ci étaient encollées de glue, mon dernier ouvrage n’y a fait que passer. A peine posé, déjà tombé, ce fût incroyablement furtif -ce qui représente, en espace-temps “mon petit bazar”, 3 semaines de réalisation, un record pour moi!-


de dos, on voit un peu mieux les devants qui pendouillent… j’aime les pans qui pendouillent…

Il n’y pas à dire, le froid, ça motive, c’est limite si je ne me suis pas sentie pousser une deuxième paire de bras -bien pratique quand il a fallu attaquer les manches avec tout un tas d’aiguilles-


ma première manche en aiguilles double-pointe, YES !
sautoir ‘mes petites étoiles’ assorti: mamoizelle bazar

100% satisfaite du modèle, 100% satisfaite de la laine choisie – la finch, aux promesses de régularité, sur les conseils de l’adorable Nadia,


seule liberté prise sur le modèle: j’ai tricoté en jersey endroit et non envers

voilà au moins de quoi réchauffer le coeur…


et pourquoi j’aime les pans qui pendouillent? c’est pour mieux m’emmitoufler dedans, mon enfant!

Finalement, moi qui me croyais être totalement hermétique au tricot, je ne pensais pas trouver la motivation dans une bonne vague de froid. Mais à tout prendre, je vous assure que je préfère être inefficace avec des mailles sous des températures plus clémentes!

celle qui déterre la hache de guerre

Pas de retour bloguesque sans les traditionnelles Bo de reprise: c’est simple, rapide, parfait pour la remise en route des petits doigts qui se sont reposés pendant 3 semaines …
Cette première paire de l’année affiche sans aucune pudeur un côté “indian spirit” -même si on s’attend davantage à voir passer des ours polaires que des indiens, en ce moment-, une couleur parfaite pour la “squaw-blanche-à-rouge-gorge” -ouais, c’est mon nom de guerre!-


bo qui piquent, matériel : la Droguerie
lettres d’imprimerie: happy vintage

…mais surtout, elle semble dire : “attention, qui s’y frotte, s’y pique!” -et ça, c’est valable pour les microbes, virus ou autre parasite de toute nature, toc !-


ça c’est l’histoire de la fille qui commence à se dire qu’en fin de compte, ça ne peut pas faire de mal de se protéger la gorge
(oui, elle en aura mis du temps à le comprendre…)

Forte de cet équipement digne d’un grand chef indien -manque que les plumes, tiens-, je vais pouvoir entamer ma danse de la bonne humeur autour de mon pot de nutella, en espérant que les dieux de la couture et du tricot répondront à mon appel -mais siiiiii…. je vous assure:  je n’ai ni fièvre, ni trop fumé le calumet de la paix…-!

cure de vitamines

Rien ne va plus dans mon petit bazar…
Je vous le fais en vrac: une blouse de février à cheval entre la vie et la mort -en moins dramatique: ‘à cheval entre la màc et la poubelle’- suite à un coup de ciseaux trop généreux/ un tricot générateur de problèmes mathématiques au moment de la réalisation des manches – 50 mailles, 5 aiguilles, mais seulement 2 mains…-/ une blogueuse contrainte à beaucoup beaucoup de repos car elle s’amuse à attraper toutes les &*$@e%ries de l’hiver en l’espace d’un seul mois – et fait même des frayeurs à ses collègues en leur offrant un spectacle digne d’un avant-générique de Dr House.

C’est vrai, je reviens avec un billet qui se passe encore autour d’une table, mais, que voulez-vous, le mot d’ordre ici est le suivant: faire le plein d’énergie!

Alors, je ne vais pas commencer un blog de nutrition, mais, vous le saviez, vous, que la pomme comportait 5% de vitamine C?

le menu de la reprise: gâteau aux pommes et gelée de fruits rouges

C’est donc par cet ingrédient que j’ai décidé de commencer ma cure de vitamines…

la gâteauthérapie, il n’y a que ça de vrai !

et pour compléter, j’ai bien l’intention de me pencher de plus près sur les qualités nutritionnelles du chocolat…

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